Le public veut des réponses : un OVNI important à Lac-Supérieur en 2014

Position déduite, à confirmer.

En guise de revue annuelle, nos collègues de l’AQU ont publié l’investigation d’un de leurs meilleurs cas enquêtés cette année. Nous soulignons leur excellent travail, d’autant plus que c’est un cas dont le Garpan a pu se charger en partie. Leur instructive vidéo-d’enquête nous dévoile la sincérité des témoins et met en évidence de nombreux détails significatifs :

N’hésitez pas à partager !

Par un heureux concours de circonstances, nos deux équipes ont pu enquêter de façon indépendante. C’est une bonne nouvelle, car l’importance de ce cas de triangle à Lac-Supérieur ne saurait pâtir que deux groupes professionnels arrivent à l’extraordinaire conclusion :

Un engin triangulaire de 65-100 m, silencieux, lent, à très basse altitude (30-50 m ?), à moins de 100 m de distance  a effectivement été vu par deux témoins directs le 4 mai dernier, dans les Laurentides.

En prenant en compte les défaillances électro-magnétiques dans la soirée suivant l’événement (et les indices connexes) une telle assertion relève assurément d’une haute étrangeté. Toutefois, l’indice de probabilité est renforcé par de nombreux éléments des témoignages, de surcroît à la contre-vérification (cross-reference) des deux ensembles de données récoltées par l’AQU et le Garpan. Enfin, la publication de nos travaux séparés établissent l’indice de crédibilité de nos investigations.

a) Le cas de Lac-Supérieur et les ovnis des Laurentides 

Un cas ovni important et solide est un cas où l’importance (étrangeté+dimension) se conjugue avec un indice de probabilité élevé (ici, 2 témoins + témoins indirects + indices connexes). Au regard de ces paramètres, le Garpan conclut qu’il s’agit du cas OVNI le plus important et solide de l’année 2014 pour le Québec.

Avec la publication des travaux ufologiques de groupes comme l’AQU et le Garpan, le PUBLIC est en mesure de questionner les autorités sur la présence de ces « vaisseaux spatiaux non identifié » ?, qui, comme en ce cas, bouleversent la vie des témoins.

La question que le PUBLIC demande n’est plus : « Est-ce que les ovnis existent ? ».
La réponse à cette question est connue et disponible depuis longtemps.

Le PUBLIC demande maintenant des questions plus précises : « Est-ce que les triangles noirs nous appartiennent ? Ou ne nous appartiennent-ils pas ? »

« Pourquoi les dizaines d’observations de triangles noirs au Québec depuis les années 1970 n’ont-elles pas été l’objet d’un débat public ? »

« Pourquoi y a-t-il autant d’observations OVNIs dans les Laurentides et près de l’aéroport Mirabel ? »

Le gouvernement répondra-t-il aux questions légitimes du PUBLIC ?

 

b) Reconstitution visuelle 

0. Je précise d’abord que ces images du Garpan n’ont pas encore été approuvées par les témoins, et se basent uniquement sur les témoignages, le lieu et, secondairement, sur les reconstitutions de nos collègues.

1. L’AQU a révélé le croquis du second témoin, et a présenté plusieurs reconstitutions dans la vidéo-d’enquête.  Néanmoins, nous avons aussi opté pour un tel exercice, en s’orientant sur leurs résultats, mais en essayant de parvenir à « vue claire » de la DIMENSION de ce mastodonte que les témoins ont décrit d’une épaisseur de 8-10 mètres (!), et d’une longueur de 65-100 m (!), situé à peine plus haut que la cimes des arbres. Si on regarde l’image ci-dessous :

on peut voir une règle indiquant 40 mètres, et on peut donc évaluer que la taille de l’énorme vaisseau triangulaire (sur cette reconstitution) est d’environ 80 mètres. Par conséquent, cette reconstitution représente la longueur moyenne des dimensions transmises par les témoins : « 200-300 pi » (= 65-100 m), en supposant que l’engin passait directement au dessus de la maison. Nous l’avons supposé puisque tel est ce que nous avait dit la témoin.

Nous n’avons pas eu la chance d’enquêter sur place, mais nous pouvons espérer que l’AQU publiera éventuellement les prises de mesures exactes et calculs permettant d’avoir une meilleure approximation de la dimension de ce « triangle noir ». À moins que les images présentées dans la vidéo aient été faits en fonction de ces dites mesures, et qu’en réalité cet engin était  plus petit que l’évaluation maximale de « 100 mètres » faite par les témoins ?

2. À regarder les splendides reconstitutions de l’AQU, on se demande, en second lieu, si l’ovni était directement au-dessus de la maison d’en face, ou plus éloigné derrière (ce qui augmente donc la dimension) ? Nous pourrons savoir ce détail quand l’AQU publiera une reconstitution de la trajectoire de l’ovni.

3. Dernier point : l’engin avait-il 3 ou 4 lumières ?

Dans le témoignage présenté ci-bas, la dame parle de trois lumières, tandis que dans la vidéo, le monsieur dit bien : « il y avait trois lumières, je pense » [voir vidéo 2:52-3:00]…

 

c) Prise du témoignage

Six jours après notre premier contact avec la témoin, nous avons enregistré une interview le 13 juin 2014, dont voici le seul extrait que nous rendrons public. Ce qui est intéressant dans la comparaison avec l’interview réalisée le 22 juin par l’AQU, c’est que nous disposons ici de deux témoignages (du même témoin) rapprochés dans le temps, et qui prouve la persistance de ses dires.

Enregistré le 13 juin 2014.
Transcription par Monique Trolliet, Guillaume Lamothe et Y.V.

Enquêteur Y.V. : On peut commencer,  vous partez du début comme si vous ne me l’aviez  jamais raconté : Qu’est-il arrivé ? Vous disiez que cela s’est passé le premier dimanche du mois de mai ?

Témoin : Oui, je pense que c’était le 4 mai [2014], vers 20h00-20h15. Je suis sortie sur mon balcon pour fumer une cigarette, et là, j’ai vu un gros vaisseau qui flottait au dessus de la maison de mon voisin qui est en face de chez nous.

E : Ça ressemblait à quoi ?

T : C’était vraiment immense, en forme de triangle. Il était assez épais et il avait des lumières rouges. Il flottait au-dessus des arbres.

E : C’était plus haut que la cime des arbres ?

T : C’était à la hauteur de la cime des arbres, c[e n]’était vraiment pas haut.

E : Quand vous dites qu’il avait une forme triangulaire avec des lumières, vous pouvez nous dire quel type de triangle et où se situaient les lumières ?

T : Il y avait des lumières rouges à l’avant, et il y en avait deux autres de chaque bord à la fin [à l’arrière] du triangle.

E : Quand vous dites que l’OVNI était rouge, c’était à cause de ces lumières-là ?

T : Oui.

E : Ce n’était pas l’OVNI en tant que tel qui était rouge?

T : Non, non, il y avait des lumières rouges, mais l’engin était foncé, comme gris foncé qui tire un peu sur le noir.

E : Si on fait une proportion, vous voyez l’ovni devant vous, il y a du rouge, vous voyez une couleur foncée, dites-moi, 50% du vaisseau était illuminé rouge, 50% était dans l’ombre de sa propre couleur?

T : Et bien moi, je dirais que le vaisseau était foncé et en dessous, ça flottait comme dans un voile rouge.

E : La luminosité était surtout en dessous du vaisseau?

T : Oui.

E : Quand vous dites « triangulaire », ça veut dire quoi?

T : Il était plus petit à l’avant et ça allait comme un triangle : une lumière était au-dessus du voisin, et l’autre ici.

E : Est-ce que c’était un triangle équilatéral ou un vaisseau en forme de triangle?

T : C’était en forme de triangle avec, à l’avant, une grosse lumière rouge, et, à chaque bout, des lumières rouges.

E : En gros, il y avait trois (3) lumières?

T : Oui, c’est ce que j’au vu. Et [la lumière rouge] à l’avant, elle tournait comme des lumières de Noël qui flashent une après l’autre, ça faisait : touk touk, touk touk…

E : Cette lumière à l’avant était composée d’une ou plusieurs lumières qui flashaient?

T : C’était rouge, mais j’avais l’impression qu’il y en avait [plusieurs] qui tournoyaient tout autour de cette lumière rouge.

E : Comment réagissaient ces lumières à l’arrière, sur les autres pointes?

T : Moi,  je voyais juste des lumières rouges. Ça [ne] flashait pas, il y avait des lumières rouges en dessous.

E : C’était des lumières fixes?

T : Oui.

E : Est-ce qu’elles étaient plus lumineuses ou moins lumineuses que les lumières de devant?

T : C’était la même couleur, sauf que celle de devant clignotait. C’était vraiment rouge et ça flottait comme dans un nuage rouge.

E : C’est sûr que lorsque vous allez faire un dessin, ce sera plus clair, mais je vois quelques questions. Vous avez parlé de l’épaisseur de l’ovni : si vous comparez à la longueur de l’OVNI, l’épaisseur, c’est quelle proportion?

T : C’était plus long qu’épais, mais l’épaisseur était importante : mon conjoint a parlé de 25-30 pieds [8-10 m] d’épaisseur.

E : D’accord. Si on prend la hauteur de l’OVNI, et qu’on la met à l’horizontale : ça rentre combien de fois dans la longueur ?

T : Je ne sais pas comment dire, mais quelqu’un qui est venu dernièrement, a dit que ça pourrait être dans les 300 pieds [100 m].

E : En fin de compte, l’épaisseur, ça devrait être 1/10^ème de la longueur totale?

T : Oui, 30 pieds d’épaisseur et 300 pieds de diamètre.

E : C’est bon pour les dimensions. Avec le dessin, ça va permettre de mieux comprendre. À partir de quel moment, votre conjoint vous a-t-il rejoint pour observer cela ?

T : Moi, je l’ai observé environ une minute et demie  (90 sec.), j’ai paniqué un peu, puis j’ai crié et appelé mon conjoint pour qu’il voie aussi ce que je voyais.

E : Vous êtes entrée pour aller le chercher ou vous êtes restée dehors?

T : Non, j’ai crié.

E : Il est venu au bout de combien de temps et comment a-t-il réagi?

T : Il est arrivé en quelques secondes et lorsqu’il l’a vu, il est resté planté devant. Et moi, comme j’avais vraiment peur, j’ai crié à mes enfants qui se sont demandé ce qu’il se passait lorsqu’ils m’ont entendue crier. Je leurs ai dit de rester dans la maison, j’ai fermé la porte [d’entrée de la maison] et ils se sont enfermés dans la chambre. Je ne voulais pas qu’ils sortent.

E : Et quand vous leur avez crié cela, est-ce que vous êtes rentrée dans la maison ?

T : Non, j’ai juste tenu la porte tout en regardant le ciel, je ne voulais pas qu’ils sortent.

E : Combien de temps a duré l’observation avec votre conjoint?

T : Avec mon conjoint, on l’a regardé pendant au moins 30 à 40 secondes. J’ai dit à mon conjoint d’aller vite chercher le Kodak [l’appareil photographique], parce que je me suis dit que personne [n’]allait me croire. Le temps qu’il rentre et qu’il trouve l’appareil, moi je me suis mise à paniquer parce que je ne connais pas bien l’emploi de l’appareil : je l’ai eu à Noël, et je ne sais pas trop m’en servir ; je ne suis pas très à l’aise avec la technologie. J’ai essayé de prendre une photo, je l’ai vu disparaitre.

E : Pendant que vous essayez de prendre une photo, votre conjoint était-il resté avec vous à l’observer?

T : Oui, il est resté avec moi.

E : Et lui, qu’est-ce qu’il a dit lorsque l’OVNI a disparu?

T : Lui, il dit comme moi, il [l’OVNI] a disparu.

E : Il ne s’est pas déplacé, il a disparu sur place?

T : On ne l’a pas revu, le temps que tout se passe avec l’appareil [photo], il a disparu, il n’y avait plus rien.

E : Vous ne l’avez pas vu se déplacer?

T : Non, il était tellement gros, il allait de la droite de mon balcon jusqu’à mon voisin sur la gauche : il était tellement gros, qu’on pouvait voir la queue à l’autre bout. Ça flottait, mais vraiment pas vite. Au début,  je croyais que c’était un avion ou un hélicoptère, mais plus je le regardais, plus je me disais que ça ne pouvait pas être ça. Je me suis posé des questions, mais même mon conjoint m’a dit que ça ne pouvait pas être un avion.

E : Est-ce que vous avez vu l’OVNI se stabiliser, ou il se déplaçait tranquillement tout le temps de l’observation ?

T : Je ne peux pas dire s’il allait à 10 km/h, parce qu’il flottait bien tranquillement.

E : Est-ce que vous avez senti que, à un moment donné, il ne bougeait plus du tout, ou il bougeait tranquillement?

T : S’il bougeait, il [ne] bougeait vraiment pas vite. J’ai été capable de le voir au moins  une minute et demie à deux minutes [90-120 sec.], et, de plus, mon conjoint l’a vu une minute [60 sec.]. S’il avait eu à bouger, on l’aurait vu flotter plus vite, mais il flottait tranquillement… Je pense qu’il bougeait comme un petit souffle [du vent].

E : En fin de compte, vous êtes persuadés que lorsque vous l’avez vu au début de l’observation, il se déplaçait, et vers la fin de l’observation, il se déplaçait moins vite ou pas du tout?

T : Presque pas du tout.

E : Quand il a disparu, vous ne l’avez pas vu — par exemple — diminuer d’intensité lumineuse, ou devenir plus sombre ; il était là, puis d’un coup, il n’y n’y était plus ?

T : Ce qui m’étonne, c’est que les arbres n’ont pas été abimés : parce qu’à la hauteur où il se trouvait, ça m’a étonnée que les arbres ne soient pas cassés.

E : Quand vous regardez le décor, l’OVNI se situait là où il y a des arbres, et l’OVNI aurait dû frapper les arbres ?

T : Peut-être pas les frapper, mais si c’était un avion qui était passé, les branches d’arbres auraient pu être cassées.

E : Okay. Si on poursuit l’événement, à partir du moment où il a disparu, vous avez eu le temps de prendre une photo?

T : Non, je n’ai pas eu le temps de prendre une photo.

E : L’ovni disparait, c’est important de savoir ce que vous avez fait dans les minutes suivantes : comment vous sentiez-vous ? Qu’est-ce que vous vous êtes dit ? Et que s’est-il passé par la suite?

T : Quand le vaisseau était là, je n’entendais plus rien. Je n’entendais pas de bruit. Après ça, je ne me rappelle pas. J’ai eu la peur de ma vie !

E : Qu’est-ce qui s’est passé quand vous êtes rentrés dans la maison ? Qu’est-ce que vous vous êtes dit?

T : Je suis rentrée et je n’arrêtais pas de me dire que je n’étais pas folle : « J’ai bien vu ça ! ».  Les enfants sont sortis de leurs chambres. J’avais les jambes molles.

E : Comment réagissait votre conjoint pendant que étiez hors de vous-même?

T : Il était calme ; lui, c’est le calme même. Il était content, il essayait de me rassurer, que c[e n]’était pas dangereux, que ce n’était pas grave.

E : Il avait déjà vu des OVNIs, il était impressionné de ça?

T : Il a été impressionné, mais il a aimé ça. Il aimerait bien en voir d’autres.

E : Est-ce qu’il en a parlé à d’autres personnes, à des amis ou des gens de la famille?

T : Non, on n’en a pas vraiment parlé. J’en ai juste parlé à une amie, je savais qu’elle ne me traiterait pas de folle.

E : Oui, c’est important d’en parler aux bonnes personnes.

T : Je n’ai pas envie d’être pointée de doigt : s’il y a quelqu’un de méchant, il va le dire à tout le monde.

E : Oui, c’est ça, il ne faut pas raconter cela à n’importe qui. Mais durant la soirée et les jours suivants, racontez-moi ce qui s’est passé ?

T : Pendant la soirée, j’étais très énervée, je suis aller voir sur Internet, parce qu’avec ce que j’avais vu, je me disais que je n’étais pas folle, il faut que j’aille voir ce que c’est que ça les vaisseaux. Moi, je n’avais jamais vu ça. Je suis allée sur Internet jusqu’à minuit, mais mon Internet ne marchait pas, rien ne marchait chez nous [le micro-onde détraquait et internet ne fonctionnait pas]. Je suis allée me coucher.

(…)

E: Je reviens sur votre observation : quand vous avez vu l’OVNI, vous dites qu’il n’y avait pas de sons. Dites-le moi encore, et si c’est confirmé par votre conjoint ?

T : Ici, il y a des grenouilles  parce que j’habite près d’un lac. Derrière chez nous, il y a des lacs tout autour, il y en a quatre ou cinq. Ce que j’ai senti, c’est comme un roulement de tambour dans mon oreille. J’entendais comme des vibrations dans mes oreilles.

E : Il n’y avait pas de sons à l’extérieur?

T : Non, il n’y avait aucun son. Je n’entendais rien, et j’étais trop captivée à regarder ce qu’il y avait devant moi.

E : Est-ce que votre conjoint a aussi remarqué qu’il n’y avait pas de sons ?

T : Oui.

E : Comment le dit-il dans ses mots ?

T : Lui, il trouve ça étrange qu’on [n’]entendait même pas le vent. Il a aimé ça. Il n’y avait pas de bruit, on n’entendait pas les grenouilles, qu’habituellement on entend quand on se parle en soirée, parce que les grenouilles chantent beaucoup au mois de mai, et là, on n’entendait rien. J’ai même dit : « Ça ne fait même pas de bruit cette affaire-là ! ».

(…)

T : Oui, parce que maintenant, je vais être moins sceptique. Quand les gens me parleront de quelque chose que je n’ai pas vu, que je ne connais pas, au lieu de porter un jugement, je me dirai que c’est possible. Je ne suis pas quelqu’un qui juge, mais maintenant, je vais croire un peu plus les gens autour de moi.

E : C’est avec un grand plaisir, chère madame, de recevoir votre témoignage. Ce que je ferai, c’est que je vous remettrai par écrit toute la conversation que l’on vient d’avoir, tout ce qui est important. Je vous enverrai une copie,  si vous êtes d’accord avec la façon dont ça a été transcrit.

(…)

T : Peut-être que dans l’avenir, j’en parlerai beaucoup moins, mais pour l’instant, ce n’est pas mon meilleur souvenir. Le temps que « j’apprivoise » tout ça, que j’aie moins peur, que je me sente en sécurité. Ça va mieux, mais si vous m’aviez parlé, il y a deux ou trois semaines… J’étais en larme au téléphone, j’étais toute pâle, paniquée. 

E : Ça aurait été peut-être bon que vous nous appeliez dans ce cas là.

T : Oh oui, [mais] je ne savais même pas où chercher. J’ai tellement cherché, j’avais écrit : « J’ai vu un OVNI, j’ai besoin d’aide, j’ai vu un vaisseau, aidez-moi ». Mais quand j’ai cherché des informations sur les vaisseaux, j’ai vu GARPAN, avec un grand rectangle en plein dans le ciel.

E : C’est justement le cas de Saint-Jérôme dont je vous ai parlé tout à l’heure.

J’ai vu ça avec des dessins superposés, mais je ne pensais pas qu’il fallait vous appeler. J’ai pensé qu’il fallait  appeler la police, je ne savais pas qui appeler étant donné que je n’avais pas reçu de réponse à mon appel. Il fallait que j’en parle à quelqu’un. »